12th DELIVERY (in french. Automatic translation. Not corrected)

À peine entrés dans la chambre ils se sont embrassés. Plus que embrasser semblerait que les lèvres leur sont restéescollées , puisque, sans qu'un millimètre les ait séparés, ils se ont mutuellement retiré les vêtements tout en s'approchant du lit. Macri a démontré son habileté pour ouvrir la fermeture du soutien-gorge avec une seule une main, mais Maru ne l'a pas apprécié parce qu'elle était amusée en essayant d'ouvrir les boutons de la fermeture de son pantalon, que le garçon n'utilisait pas de fermeture éclair. Sans cesser de s'embrasser, en se mordant les lèvres et en se délectant les deux sont restés tout nus. Macri a eu peur un second de la capacité préhensile des doigts des pieds de la française, qui lui a retiré les chaussettes presque sans qu'il ne se rendît compte.

Maru s'est permis de tomber bocarriba dans le lit et a apporté avec elle à Macri, qui il est tombé dessus mais il s'est commodément jeté place. Pour ne pas l'aplatir, et pour la regarder. De tôt elle lui a semblé très belle. Les rastas le tombaient d’ un côté et marquaient le contour du visage, en la faisant plus attractive. Les poitrines dans cette position lui semblaient plus rondes. La nuit antérieure Macri à peine il avait pu observer sur son corps. Maintenant les bouts lui ont semblé parfaits : des oranges, saillants, durs. À peine il avait un duvet à tout le corps, et celui-là du pubis le passait découpé, peu abondant.

On remarquait la fille excitée, impatiente, à l'attente. Macri lui a passé un doigt par le front, en la caressant. Sous le doigt par le nez, par le menton, entre les poitrines .. il la caressait avec ce doigt unique, en parcourant la ligne imaginaire qu'il divise à n'importe quel corps en deux. Après avoir passé sur le nombril elle a donné une résistance, mais il s'est efforcé dans rester immobile. Il a arrêté le doigt après être arrivé à son clitoris et après avoir perçu certaine humidité là. Elle le regardait en silence.

Il a frôlé le bout gauche, en le nourrissant avec la gemme du doigt, et a remarqué qu'elle s'altérait à peine. Macri avait une théorie sur les bouts des filles. Selon son expérience, les bouts des filles avec de grandes poitrines sont moins sensibles. Par cela il a douté si redoubler; il a été pensé; il s'est mordu la lèvre; et voilà qu'il a appuyé le bout entre deux doigts. La force a augmenté avec celle qui le serrait jusqu'à ce qu'elle gimió légèrement :

- Eyy, me fait mal.

- Vrai ? Tu n'as pas de visage de douleur.

- il me fait mal, mais il me plaît.

- Et maintenant ?-Macri a serré fort le bout entre ses doigts. Maru a fermé les yeux et a serré la bouche, mais il ne s'est pas plaint. Il lui a parlé à une voix très douce :

- il me plaît. Ce point me plaît où sont mêlés la limite du plaisir et le principe du plaisir. Il me plaît d'exister dans ce point, que tu ne sais pas s'il te fait mal, ou te plaît, ou les deux choses-Maru gimió reste - : sais-tu ? Tu as un nerf spécial qui connecte chaque bout avec ton clitoris. Te serre j'ici - il a redoublé - et un courant électrique te parcourt par-ci, par-ci - avec la gemme du doigt il dessinait un chemin depuis sa poitrine, par la peau de l'abdomen, en laissant place le nombril et jusqu'au point le plus sensible du corps de la fille, qu’il a légèrement frôlé en finissant. - Le sens-tu ? Regarde je te recommence à redoubler et tu verras comme si tu te concentres tout ce que je te fais dans ton bout tu le sens dans ton con. Tu le remarques.

- oui. Je ne sais pas si c'est ce nerf ou est autosuggestion, mais il l'a remarqué ... ayyyyy - Macri a déjà serré sans pudeur le pincement sur la poitrine de la Française, qui ne se plaignait pas, simplement gemía concentrée. De fait, il a serré les deux bouts à la fois, chacun avec une main, avec toutes ses forces, une pression constante qui fatiguait à lui même les doigts. Très fort. Le corps de Maru s'agitait, était très évidemment excité, abandonnée. Si négligée que très tôt les gémissements se sont convertis dans des petits cries, de plus en plus fort. Il a doublé la tête vers un côté, comme beaucoup de femmes font quand se pousser. Il a maintenu la pression dans les bouts et le mouvement doux rotatoire de ses mains tandis que la jeune fille arquait l’epaule, en respirant très fort, gimiendo à l'intérieur à la fois qui hurlait tout bas. Macri a remarqué qu'il était tout près d'arriver à un orgasme et effectivement il ne s'est pas arrêté jusqu'à sentir que tout le corps d'elle tremblait comme dans un frisson étendu et semblait pleurnicher. Alors il s'est arrêté et a doucement embrassé les deux bouts, avec les lèvres très humides, en les calmant après ce jeu. Maru se a fait une pelote. Toujours il a tiré des forces pour lui parler, avec voix de petite petite fille, à son amour :

- Uuufff, que joli!!! tu vas me tuer! Mmmmm, maintenant je veux que tu me fasses l'amour, Macri, s'il te plaît, baise-moi, s'il te plaît.

- non, petite française.. Parler de cela. Je veux qu'aujourd'hui tu dormes ainsi, sans perdre ton excitation, sans cesser de se sentir et de me désirer.

- mais je suis très mouillée. Je t'aime à l'intérieur.

- qui va petite, parler - il lui a passé une main par la joue et le front, en la caressant affectueux.

- Hmmmm ... puisque tu es aussi excité. Très excité - il a remarqué son sexe. Tout dur et inhiesto.

- les envies, moi me tairai aussi.

- puisqu'il semble que tu es aussi humide - Il A nourri avec un doigt la pointe du polla du garçon et il le lui a passé, mouiller à lèvres.-Uauuu ... quel bien il sait! Il ressemble de la confiture!

- N'exagères pas, Maru.

- tu ne sais rien, il est doux, vraiment. - la Française se leva le juste pour arriver a se mettre la pointe rose de ce sexe dur entre les lèvres et le lacha à conscience, comme si elle savourait un bonbon. Puis elle a recommencé à s’appuyer relamiéndose les lèvres.

- Oyeee, que e suis excité.

- tant pis. Maintenant tu te tais. À dormir!

Les deux ont été pris dans les bras, souriants. Elle s'est installée sur sa poitrine et quand déjà presque les deux étaient dormi a dit à l'entendu la seule phrase dont il s'éveillerait au jour suivant :

- le goût de ton liquide preseminel m'enchante.

Ils ont dormi ainsi. Pendant la nuit ils se sont séparés un peu ; chacun s'est installé dans son coté du lit. Macri s'est éveillé la nuit mais il s’est rendormi tout de suit avec le confort de ses deux culs en se frôlant.

Par le matin le bruit d'une alarme les a réveillés tôt. Sans s'étirer, Maru tel n'a pas refréné les envies d'embrasser son aimé. Il l’a souris, pour ne pas être moins :

- j'adore me réveiller avec tes baisers, sais-tu ?

- tu n'es pas de mauvais goût! tu t'es éveillé avec l'alarme de mon mobile!

- D’accord, mais tes baisers récemment un son levé très accueillants.

- cela est parce que tu as quelques délicieuses lèvres, on ne peut pas se priver de les embrasser.

- Pourtant à toi, petite française, la respiration te sent mal.

- Hmmmm ... cela est parce que tu ne me donnes pas de bonbon de le chocolat.

- je me suis oublié de t’ en apporter.

- il y a un paquet ouvert là, sur la table - Macri, a étiré le bras et après avoir recherché un instant à l'aveuglette, il s'est heurté, effectivement, avec un paquet craquant. Il l'a pris

- seulement trois restent.-Maru il l'a regardé et s'est limité à sourire, avec un sourire long et brillant.

- il vaut, compris. Un bonbon pour la petite fille - il a pris l'un, d'une couleur rouge, et il l'a utilisé pour nourrir les lèvres d'elle - Hmmm ... quelle faim, vérité ? - il a suivi en le se frôlant par les lèvres, sans lui donner une option à le manger. Ils ont commencé à jouer à nouveau.